Le look. Il résulte d’un métissage entre la très moderne Picasso (avec ses phares en amande à verre lisse et son harmonieuse calandre à une seule barrette) et des réminiscences plus classiques (arrière très carré avec de gros chevrons). De toute évidence, les ingénieurs de Citroën ont voulu peu ou prou épouser le style monospace, ainsi que l’atteste la hauteur du véhicule (1 m 48).
L’habitacle. Limousine tricorps aux formes généreuses, la C5 offre beaucoup d’espace et de confort à ses passagers. Les sièges se veulent particulièrement accueillants et bien dessinés. Quant au tableau de bord et aux équipements, ils ne diffèrent pas beaucoup des autres modèles de la marque, malgré la qualité des matériaux et de l’assemblage.
Sur route. Principal argument de vente de Citroën, le train roulant de la C5 entend répondre aux exigences les plus strictes en matière de tenue de route, de direction et de freinage. A grande vitesse, la carrosserie s’abaisse de 15 millimètres. Sur une chaussée dégradée, elle s’élève de 13 millimètres. S’il l’entend, le conducteur peut tout de
même imposer sa volonté à l’électronique de bord en appuyant sur un bouton.
La sécurité. ABS, aide au freinage d’urgence, antipatinage (sur certains modèles), six coussins gonflables (dont deux rideaux), absorbeurs de chocs à l’avant et à l’arrière: les questions de sécurité ont fait l’objet d’une approche globale intelligente, tant sous l’angle de la résistance aux chocs que de la protection des occupants.