L’habitacle. Malgré une longueur d’à peine 3 m 77, l’YRV donne une impression de grand espace. Outre sa hauteur (1 m 55), le positionnement différencié des passagers accentue ce sentiment. Les sièges arrière, surélevés et réglables individuellement, peuvent notamment être déplacés de 15 centimètres dans le sens de la longueur. Autre particularité: les bords inférieurs des fenêtres forment une ligne brisée (double coin) particulièrement jeune et dynamique.
Le moteur. Eprouvé sur les modèles Terios et Sirion, le groupe propulseur (16 soupapes et deux arbres à cames en tête) souligne le tempérament sportif de l’YRV. Le système DVVT (Dynamic Variable Valve Timing) optimise, lui, la distribution et assure une combustion peu polluante. Les performances de cette traction avant, qui pèse seulement 962 kilos, ne manquent pas de panache: 11,2 secondes, par exemple, pour passer de 0 à 100 km/h (boîte manuelle) et une vitesse de pointe de l’ordre de 175 km/h.
La boîte de vitesses. Moyennant un supplément de 1550 francs, Daihatsu offre une variante intéressante à tous ceux qui croient les boîtes automatiques traditionnelles réservées aux pépés. A l’instar des modèles sportifs, le système «Steershift» permet de changer très rapidement de régime sans lâcher les mains du volant.
La sécurité. L’YRV offre, de série, six airbags (volant et tableau de bord, sièges conducteur et passager et «rideaux» sur les côtés. Excellente option du constructeur, cela va sans dire! L’ABS est également complété par un répartiteur de freinage (EBS) qui agit en fonction de la charge du véhicule.
En conclusion. L’YRV est un véhicule convaincant sous plusieurs angles: rapport qualité-prix, comportement routier et sécurité. Enfin, ce qui ne gâte rien, le niveau des finitions mérite un coup de chapeau!