La Hyundai Elantra

L’intérieur. Quelle place! Généreux en diable, l’habitacle offre un confort maximum, en particulier aux passagers des sièges arrière qui peuvent étendre Hyundai Elantraleurs jambes tout à loisir. En cela, avec un empattement de 2 m 61 (six centimètres de plus que la Lantra!), l’Elantra s’approche des valeurs usuelles du segment supérieur, surclassant ses principales rivales, telles la Toyota Corolla ou la Honda Civic.

 Sur route. Le moteur de 4 cylindres (16 soupapes et injection d’essence multipoint) répond agréablement aux sollicitations du conducteur. Les changements de vitesse s’opèrent en douceur et avec précision. La boîte automatique, qui fait appel à la logique floue, assure de la même manière une conduite fluide. Bonne surprise également en matière d’isolation phonique. A 120 km/h, en cinquième vitesse, à 2800 tours, l’Elantra glisse sur l’asphalte comme sur du feutre.

 Les équipements. Ils sont nombreux, bien étudiés et tous inclus dans le prix: doubles airbags et airbags latéraux, ABS, direction assistée, antidémarrage, système d’alarme, climatisation automatique, filtre d’habitacle, rétroviseurs électriques et chauffants, radio RDS avec lecteur de CD et six haut-parleurs. Autant dire que la panoplie est complète!

 En conclusion. Hyundai ne fait pas mentir sa réputation de rapport qualité-prix très avantageux. Sous cet angle-là, avec l’Elantra, l’importateur suisse fournit même un effort supplémentaire. Si seulement la valeur de revente des véhicules de la marque pouvait un jour profiter des mêmes auspices favorables…

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